lundi 15 décembre 2014

EMPLOI - Des besoins colossaux en Afrique!


Avec une croissance annuelle moyenne de +5%, une population qui est en passe de doubler d’ici 2050, des investisseurs devenus afro-optimistes, on assiste à une explosion des opportunités d’activités, par l’emploi ou l’entreprenariat, dans les 54 pays du continent africain.
Les enfants de la diaspora, maintenant aussi diplômés que leurs homologues dans leur pays d’accueil, bénéficient d’un a priori favorable à l’embauche de la part des grandes sociétés internationales implantées en Afrique (Bolloré, Orange, Total, Schlumberger, etc.). Cependant, il y a de la place pour tout le monde. Certaines professions sont en grave pénurie de candidats, comme, pour exemple :
-        Ingénieurs et financiers dans les secteurs pétroliers et des télécom
-        Techniciens du bâtiment
-        Professionnels du secteur bancaire
-        Professionnels ou entrepreneurs du secteur internet marchand

Quelques adresses utiles pour trouver un emploi en Afrique :
-   http://www.globalcareers.com/ (spécifique aux diasporas)
-    www.michaelpageafrica.com (du sourcing même d’Afrique du Sud)
-    www.africsearch.com (l’organisateur du Forum parisien « Africa Talents »)
-    www.fedafrica.com (spécialiste de l’Afrique et du Moyen-Orient)
-  http://africainternetgroup.com (plus de 100 start-up africaines en pleine croissance)
- www.atelier-aci.com (cabinet d'accompagnement entrepreneurs)



dimanche 23 novembre 2014

Un nouveau prix de l’Entrepreneuriat africain


Le PDG de la BMCE Bank, Othman Benjelloun, l'homme le plus riche du Maroc, selon un classement 2014 du magazine américain Forbes, vient de faire part de son intention d’initier un prix africain pour l’entrepreneuriat.
Le richissime homme d’affaires a fait cette annonce jeudi 20 novembre lors de son intervention au 5e Sommet Global de l’Entrepreneuriat (GES-2014) à Marrakech.
Avec en jeu une enveloppe financière d’un million de dollars, ce prix récompensera chaque année, le meilleur entrepreneur africain.
Le président de BMCE Bank a également entend également promouvoir l’esprit d’initiative et d’entreprise à travers le continent africain.
A cet effet, il compte élargir les compétences d’un centre d’information, de documentation et d’expertise institué au sein du Groupe BMCE Bank, dénommé l’Observatoire de l’Entrepreneuriat.
La BMCE est présente dans différents pays du continent africain notamment grâce à sa prise de contrôle de 40% du capital de la Bank of Africa (BOA).
Rédigé par Blaise AKAME  pour Africa Top Success 

jeudi 11 septembre 2014

Transparence accrue de l'aide française au Développement

Le 8 septembre lancement d'un nouveau site sur la transparence de l'aide française au développement:
Ce site lancé par le Ministère des Affaires étrangères et du Développement International (Madame Annick Girardin, Secrétaire d'Etat chargé du Développement et de la Francophonie), a pour objectif de permettre une transparence accrue des fonds consacrés à l'aide au développement dans les pays prioritaires. 
Une première série de projets a été mise en ligne et sera complétée progressivement (Mali, Burkina Faso et Mauritanie). Il couvrira à terme les 16 principaux bénéficiaires de l’aide au développement de la France (en subventions et dons).
C'est aussi un espace participatif. Le "contrôle citoyen" permet d'interpeller le ministère et d'interroger sur les projets présentés.




lundi 1 septembre 2014

En matière d'export, chaque région a son point fort



En matière d'export, chaque région a son point fort. Et certaines font mieux que la moyenne nationale. 

Des avions en Midi-Pyrénées, de la viande en Bretagne ou du vin en Aquitaine, chaque région française a ses spécialités. A partir des données 2013 des douanes,Challenges.fr vous propose de faire le tour de France des produits les plus exportés. Avec à la clé, de nombreuses surprises.

Globalement, les marchandises les plus souvent vendus à l'étranger sont, dans l'ordre, les avions, les produits pharmaceutiques et chimiques, les automobiles, le pétrole raffiné, les machines, le matériel électrique et les produits issus du monde agricole. Au total en 2013, ces exportations de biens (sans les services donc et hors matériel militaire) ont représentées 427 milliards d'euros, en baisse de 1,5% sur un an.

Ces régions qui exportent et celles qui n'y arrivent pas
Les régions qui exportent le plus vers l'étranger sont l'Ile-de-France (77,2 milliards d'euros), Rhône-Alpes (45,9 milliards d'euros), Midi-Pyrénées (44 milliards d'euros) et le Nord-Pas-de-Calais (32,4 milliards). La plupart du temps, ces performances sont liées à la taille de la population locale et à la vitalité des entreprises du secteur.

A l'inverse, certaines contrées de France ont les plus grandes difficultés à trouver des débouchés à l'international. C'est le cas de la Corse, qui a exporté en 2013 seulement 50 millions d'euros de marchandises. L'équivalent de ce que pourrait faire à elle seule une PME bien implantée à l'international! Parmi les autres régions à la peine, citons le Limousin (2 milliards d'euros d'exportations) et la Basse-Normandie (4,5 milliards d'euros).

Lire la suite de cet article et voir les cartes sur Challenges.fr


jeudi 17 juillet 2014

Priorité à la biodiversité et au climat : Rapport du FFEM 2013

Le Fonds Français pour l’Environnement Mondial (FFEM) est un fonds public français destiné à favoriser la protection de l’environnement mondial dans les pays en développement. Le FFEM finance des projets de développement ayant un impact significatif et durable sur l’un ou l’autre des grands enjeux de l’environnement mondial.


Le rapport annuel 2013 du FFEM est disponible:



lundi 16 juin 2014

Rapport économique 2014 sur l’Afrique par les Nations Unies

"L’un des paradoxes les plus déconcertants de la dernière décennie,c’est que l’Afrique a enregistré une croissance sans précédent mais qu’une bonne partie de sa population végète dans la pauvreté économique, et pâtit d’un chômage rampant et de l’inégalité. Le continent à enregistré une croissance moyenne de 5 % durant la dernière décennie, certains pays réalisant même plus de 7 %. Les facteurs responsables de cette croissance sont les prix relativement élevés des produits de base, l’augmentation de la demande intérieure (en raison essentiellement de l’accroissement de l’investissement privé dans l’infrastructure et l’énergie) et l’amélioration de la gouvernance et de la gestion économique."
Lire la suite ICI

mercredi 7 mai 2014

ACI est dans L'ANNUAIRE DE L'INTERNATIONAL 2014

La société ACI Atelier Compétences Internatinales est présente dans l'Annuaire de l'International 2014 publié par l'ADEFI (Appui a Développement des Entreprises Françaises à l'International). L' annuaire international de l'ADEFI vise à faciliter la mise en relation entre les entreprises françaises et les prestataires de services francophones à l'international spécialisés dans l'implantation à l'étranger ou l'import-export.
Cliquez ici

jeudi 10 avril 2014

Pourquoi l'Afrique a besoin de plus d'investisseurs dans l'agro-industrie

Traduction de l'article écrit par Carlos Lopes, secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique.
Comment, 2014, Année déclarée de l'agriculture et la sécurité alimentaire par l'Union africaine, pourrait renforcer l'engagement politique et l'élan pour faire de l'agroalimentaire la prochaine frontière de l'Afrique.


La performance économique de l'Afrique au cours de la dernière décennie a été remarquable, après avoir atteint une croissance moyenne de 5%. Si cette croissance se maintient, les projections indiquent que le PIB de l'Afrique devrait tripler d'ici 2030 et être multiplié de sept fois d'ici 2050, dépassant la croissance de l'Asie. Cependant, cette croissance ne s'est pas encore traduite en création d'emplois ou diminutions des inégalités.
Au-delà de la croissance, le continent a besoin de transformations. Les raisons internes, externes et historiques qui ont fait que son potentiel industriel n'a pas été développé, peuvent être attribuées principalement à l'échec des politiques, souvent imposées. Le colonialisme a laissé derrière lui des institutions et une infrastructure de base qui ont été conçues pour améliorer l'extraction des ressources de l'Afrique, par opposition à y développer de la valeur ajoutée. Les programmes économiques d'ajustement structurel ont également eu des effets négatifs sur la capitalisation technologique, le développement du capital humain et la performance des exportations de produits manufacturés.

lundi 20 janvier 2014

Les eco-entreprises vedettes de l'exportation française


Remis à l’occasion du salon Pollutec Horizons le 6 décembre 2013, les Trophées de l’export des éco-entreprises ont été décernés pour la 3ème année consécutive.

Placé sous le parrainage de Nicole Bricq, ministre du Commerce extérieur, le jury est constitué des principaux acteurs institutionnels représentatifs du savoir-faire français dans le domaine des éco-technologies et de l'export : ADEME, UBIFRANCE, bpiFrance, AFD, MEDDE, PEXE DGCIS, Reed Expositions France, les pôles de compétitivité (AXELERA, EAU, TEAM2, ADVANCITY).

Les éco-technologies sont l’une des filières d’excellence françaises sur lesquelles les pouvoirs publics ont décidé de mettre l’accent à l’export.  Actives dans le domaine de la protection de l’environnement, des énergies alternatives ou encore de l’efficacité énergétique, les PME et ETI de cette filière répondent à des besoins universels et à des enjeux mondiaux. L’export représente pour elles un puissant levier de développement et de rayonnement des savoir-faire dans ces domaines.

Pour l’édition 2013 des Trophées de l’export des éco-entreprises, quatre prix ont été décernés :

   
* Prix du Dynamisme à l’export : récompense la meilleure performance à l’export d’une éco-entreprise. Remis à Photalia (systèmes solaires PV modulaires, durables et résistants, pour sites isolés, difficiles d’accès ou à contraintes spécifiques). L’entreprise filiale du groupe Vergnet est entièrement tournée vers l’export.
* Prix de l’Innovation à l’international : récompense le succès à l’export d’une éco-technologie innovante. Remis à Lacroix Sofrel (produits dédiés au contrôle et à la gestion à distance d’installations techniques sur les marchés de l’eau potable, de l’assainissement, du génie climatique et de l’éclairage public). Présente dans 34 pays, l’entreprise connaît un accroissement continu de son activité à l’export.
   
* Prix Jean Claude Oppeneau - Coup de cœur du Jury : récompense une éco-entreprise qui se démarque par le potentiel de son innovation à l'export, parmi les nominés des Trophées. Remis à Ecodas (unités autonome de traitement in situ de déchets hospitaliers par broyage et stérilisation, en alternative à l’incinération). Présente sur quatre continents, l’entreprise réalise près de 80% de son CA à l’export. Elle travaille en outre à adapter son procédé aux sous-produits animaux.  
* Prix Special du Jury (éco-entreprise distinguée pour sa stratégie export et sa capacité d’innovation). Remis à ECM Technologies (systèmes industriels de traitement thermique). L’entreprise qui exporte 90% de sa production est partenaire de grands groupes internationaux. Déjà présente dans 21 pays et implantée en Chine et aux Etats-Unis, elle a contribué à la création d’un consortium français d’entreprises au Kazakhstan, aux côtés de Kazatomprom, dans le cadre du développement d’une filière solaire locale. (nouveauté pour l’édition 2013) : il récompense une éco-entreprise pour son implication dans un effort collectif sur un projet à l’international (hors R&D).